Basques antifascistes ? Non ! Fascistes, oui.

Basques, les services secrets russes par l’intermédiaire de vos dirigeants vous manipulent. Ils étaient frères d’armes de fascistes et ils se font passer pour des antifascistes. Ils déclarent être des indépendantistes et se sont battus pour des impérialistes contre la révolution indépendantiste ukrainienne de Maïdan. Ils soutenaient l’impérialisme russe, servaient avec les néonazis russes dans le bataillon Prizrak sous le commandement d’Alexey Mozgovoy.

Internationalistes de tous poils et hommes de la Légion impériale russe ont été frères d’armes en Ukraine orientale. À la bataille de Debaltzevo, trois hommes de la Légion impériale, partisane de la suprématie de la race blanche, ont trouvé la mort : Dmitry Cizikov et deux autres volontaires de la Légion impériale russe, Vladimir Kazartsev et Vladimir Drobitsky. Sur les 22 membres de la Légion impériale qui combattaient à Debaltzevo, neuf ont été blessés. Un autre volontaire de Moscou est mort dans cette bataille. Le nombre total de décès fut d’environ 24 personnes. Auparavant, la Légion impériale russe avait combattu à Nikishino et à Kumshadskoye. Elle continue de sévir au Donbass ukrainien.

En décembre 2014, de retour à Moscou, Denis Gariev, chef de la Légion impériale russe, confirme qu’il avait bien combattu à Debaltsevo et que ces pertes ne sont pas les seules

« Maintenant, la Légion impériale est dans la région de Debaltsevo. Et avant nos hommes ont défendu le village de Nikishino. C’est là que notre légionnaire Sergueï Markov alias Onega est mort. »

Denis Gariev confirme également que la Légion impériale russe avait été intégrée dans la brigade internationale Prizrak du commandant Mozgovoy, ce qui était logique puisque celle-ci était composée exclusivement de volontaires étrangers, russes, serbes, basques, catalans, français, espagnols, etc. Denis Gariev : « La Légion impériale a été retirée de Donetsk et mise à Alchevsk à la disposition du commandant Mozgovoy de la brigade Prizrak ».

Neveu d'un commentateur de la TV russe, fasciste de la Légion impériale russe et terroriste.

Le combattant le plus célèbre de la Légion impériale russe au Donbass restera le neveu du présentateur politique vedette de la télévision russe Dmitry Kissilev, Serguey Kissilev. De nationalité allemande, il était passible de 10 ans de prison. Reconnu coupable d’implication dans le conflit armé dans l’est de l’Ukraine, il a été condamné par un tribunal de Munich à deux ans et trois mois ferme.

Serguey Kissilev a reçu une formation militaire au centre d’entraînement de terroristes Partizan de Denis Gariev à Saint-Pétersbourg. Des photos l’impliquent dans des groupes armés de la Légion impériale sévissant en Ukraine. Pour cette action, il a été décoré au cours d’une cérémonie de la Légion impériale russe par le dirigeant du mouvement impérial russe Stanislas Vorobyev en présence de Denis Gariev.

L'Internationale fasciste de Poutine.

Les dirigeants basques ne peuvent pas ignorer qui sont ces deux personnages. Ils vous ont sciemment caché qu’ils étaient alliés avec les néonazis européens.

En novembre 2019, les monarchistes autrichiens, l’Alliance noire et jaune (Die Monarchisten — Schwarz-Gelbe Allianz) a invité Stanislav Vorobyov et Denis Gariev. Sur la photo publiée par Shekhovtsov, la chef de l’Alliance noire et jaune, Nicole Farah, se tient à côté de Vorobyov. L’objectif des monarchistes autrichiens est de rétablir l’empire des Hassbourg en soumettant les peuples d’Europe centrale à Vienne. Les néo-impérialismes autrichien et russe fraternisent.

Les actions du Mouvement impérial russe ne se limitent pas, avec l’aide du Kremlin et des Basques, à guerroyer au Donbass ukrainien. Il soutient financièrement les néonazis suédois de la résistance nordique, entretien des liens très amicaux avec les néo-franquistes espagnols.

Des néonazis suédois Anton Thulin et Viktor Melin qui ont effectué un attentat à Göteborg, en Suède. Ils s’étaient préalablement entraînés dans le camp Partizan de la Légion impériale en Russie.

Il est étonnant que le chef de l’organisation néo-fasciste russe, dans le camp de laquelle les terroristes de Göteborg se sont entraînés, et qui envoie des terroristes au Donbass ukrainien, puisse se déplacer librement dans les pays de l’Union européenne.

Soutenu par la puissance financière et médiatique du Kremlin, le Mouvement impérial russe est le noyau central du Kommintern fasciste de Poutine : une alliance internationale des néo-fascistes occidentaux et russes.

Les terroristes étaient à Altchev avec Ibaï Trebino.

Cette photo, s’il fallait une preuve supplémentaire, prouve que les fascistes autoproclamés antifascistes, dont le Basque Ibai Trébino et des Serbes, se trouvaient bien à Altchevsk avec les fascistes de la Légion impériale russe de Denis Gariev sous le commandement du commandant Mosgovoy de la brigade Prizrak.

Par la suite, le Kremlin comprit que la présence des fascistes russes empêcherait de raviver et d’exploiter un imaginaire, celui des brigades internationales de la guerre civile d’Espagne. Le mot d’ordre « No passaran » aurait été peu crédible. Début 2015, les combattants des organisations fascistes russes ont été éloignés sur une autre partie du front, où ils ont continué à se battre pour la même cause dans la même armée, contre le même ennemi. Les services de propagande russes, avec l’aide de la totalité des médias et politiques basques, ont pu réadapter et mettre à profit ces schémas anciens de la guerre civile espagnole qui n’ont aucune corrélation avec la situation actuelle, car l’impérialisme, les fascistes, c’est Moscou et Mozgovoy.

Le fascisme a été importé en Ukraine, tout d’abord par Hitler qui l’a envahie, ensuite par Staline avec l’intégration de l’Ukraine dans l’URSS et à présent par Poutine qui veut la reconquérir pour reconstruire l’empire. Pour cela, Poutine possède une arme : les services secrets russes. Ils contrôlent l’opinion publique basque au travers de ses agents : vos dirigeants politiques, syndicaux, mondains, sportifs, religieux, associatifs. Les autres se taisent, parce qu’ils seraient menacés s’ils tenaient un discours différent.

Le fascisme, il est à Moscou et au Pays basque.

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