June 6, 2018

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Eugénie Grandet

Le texte donné est un extrait du roman connu d’Honoré de Balzac Eugénie Grandet. Balzac est un représentant du réalisme critique. Le thème principal de ses romans est de l'argent. Selon Balzac, l’argent est un important oagent du développement de la société (двигатель развития общества). Dans ses romans il parle de l'influence de l'argent sur l'homme. L'argent ne peut pas seulement développer la société mais l’écarteler (развращать).

Ainsi dans le roman Eugénie Grandet le thème de l’argent est aussi évoqués (поднята, затронута). Les événements du roman se déroulent dans la province française du 19ème siècle. Le chef d'une famille riche est Felix Grandéе, despote et radin (скряга), qui accumule secrètement l’argent et economise sur tout. Un jour sa fille Eugenie fait la connaissance avec son cousin Charle, ayant venu de Paris. Ils tombent amoureux, mais Charle doit partir. Elle promet de l’attendre, mais il l’oublie.Les années passent ... la mère d’Eugenie est meurte, puis son père. Elle devient héritier (наследник) d'une immense fortune, et adopte les traits de caractère de son père.

Ce passage décrit la première nuit de Charle dans la maison de son oncle. Malgré le fait qu’il n’est pas le personnage principal du roman, il est le protagoniste de ce passage.

Quand Charle arrive chez son oncle, il est choqué par les conditions de la vie de cette famille («Quand Charles vit les murs jaunâtres et enfumés de la cage où l’escalier à rampe vermoulue tremblait sous le pas pesant de son oncle, son dégrisement alla rinforzando. Il se croyait dans un juchoir à poules»).L'ameublement de cette maison ne corresponde completement à ses attentes. Charle ne peut pas croire que l’homme si riche peut vivre dans de telles conditions misérables («Après avoir jeté les yeux sur les murs d’une chambre en mansarde tendue de ce papier jaune à bouquets de fleurs qui tapisse les guinguettes, sur une cheminée dont le seul aspect donnait froid, ……sur le maigre tapis de lisière placé au bas d’un lit à ciel dont les pentes en drap tremblaient comme si elles allaient tomber, achevées par les vers, il regarda sérieusement la grande Nanon et lui dit:  – Ah çà! ma chère enfant, suis-je bien chez monsieur Grandet, l’ancien maire de Saumur, frère de monsieur Grandet de Paris?»). Dans ce roman le narrateur est omnipresent (вездесущий). С’est un trait du romantisme. Mais son discour est simple. Il utilise un vocabulaire (le lexique) de différents domaines de la science pour créer le caractère multidimensionnel (многоплановый характер) l’image (« trois portes peintes en rouge étrusque; un alchimiste les balances les reçus, les calculs; de manière ce laboratoire »).

Le discours de personnages est plus émotionnel, expressif. ils utilisent parfois et les mots brusques et exacts («Prenez-vous mon neveu pour une femme en couches? »).

A en juger par (судя по) le choc que Charle éprouve, on peut dire qu'il s’est habitué au confort et à la richesse.La servante Nanon comprend bien cela, et quand le père Grandet voyant une bassinoire dans ses mains, demande («Prenez-vous mon neveu pour une femme en couches? ») Elle reponde: (« ce monsieur est vraiment mignon comme une femme »).Nanon est surprise par la richesse de Charles encore plus quand elle aide à défaire ses valises et voit parmi les vêtements coûteux et exquis, une robe de chambre en soie verte à fleurs d’or et à dessins antiques. Charles, voyant l'admiration de Nanon promet de laisser sa robe de chambre pour elle apres le départ. On peut supposer que par ce gesteCharle veut montrer sa générosité.

Le narrateur décrit la maison de Grandet avec une grande quantité de détailes en utilisant beaucoup d’epithetes(« Arrivé sur le premier palier, il aperçut trois portes peintes en rouge étrusque et sans chambranles, des portes perdues dans la muraille poudreuse et garnies de bandes en fer boulonnées, apparentes, terminées en façon de flammes comme l’était à chaque bout la longue entrée de la serrure») Malgré le fait que ce passage est consacré aux impressions de Charle dans cette maison, il charactérise assez clair Le Pere Grandet. On peut dire que le père Grandet est une personnification (олицнтворение) de l’avarice.Il économise totalement sur tout- le chauffage, les bougies, le sucre, les vêtements, et d'autres nécessités. Le père G est très riche, mais il ne se sert (не польз) pas de ces richesse. Il accumule (копит) l’argent seulement pour en avoir et pour contempler (созерцать) son or et le compter.Par ex. les phrases suivantes témoignent (свидетельств) ce fait : (« Là, sans doute, quand Nanon ronflait à ébranler les planchers, quand le chien-loup veillait et bâillait dans la cour, quand madame et mademoiselle Grandet étaient bien endormies, venait le vieux tonnelier choyer, caresser, couver, cuver, cercler son or. Les murs étaient épais, les contrevents discrets. Lui seul avait la clef de ce laboratoire… »).

Dans ce texte l'auteur montre comment la santé financière (финансовое благополучие) est important pour les personnages. Mais si pour Charle il est interessent ce que l'argent peut acheter, pour son oncle il est important simplement de les posseder.

“Madame Bovary” (G.Flaubert)

Gustave Flaubert est un grand écrivain français du 19ème siècle. Il a écrit beaucoup d'oeuvres littéraires, qui lui ont apporté la célébrité. Son livre "Madame Bovary"présente l'intérêt spécial pour nous. Cette oeuvre est considéré comme un des chefs-d'œuvre de la littérature mondiale.L’héroïne principale du roman Emma Bovary est la femme du docteur vivante au-dessus des moyens (живущаянепосредствам) et ayant les amorettes (заводящаялюбовныеинтрижки) dans l'espoir délivrer (избавитьсяот)de la médiocrité (обыденность) de la vie provinciale ennuyeuse. Au bout du compte (вконечномсчете) n'ayant pas trouvé la consolation (утешение) et ayant déçu(разочаровавшись) définitivement dans sa vie, elle se suicide.

L’extrait analysé est consacré à l'arrivée des Bovary à Toste et leur vie quotidienne dans cette ville. L’auteur fait une grande attention à l’état d’Emma. Elle espère que sa vie se change, mais rien ne se passe. Emma tente de s'occuper de toute façon, mais la vie mesurée (размеренная) et ordinaire dans la ville provinciale lui ennuie vite, et Emma se déprime (впадатьвдепрессию) de nouveau.

M-me Bovary nous se présente comme la personnalité (натура) romantique, émotionnelle, sensitive (чувственная) et rêveuse (мечтательная):.(Avant qu’elle se mariât, elle avait cru avoir de l’amour ; mais le bonheur qui aurait dû résulter de cet amour n’étant pas venu, il fallait qu’elle se fût trompée, songeait-elle) (elle cherchait à imaginer quels eussent été ces événements non survenus, cette vie différente, ce mari qu’elle ne connaissait pas).(Le souvenir du Vicomte revenait toujours dans ses lectures. Entre lui et les personnages inventés, elle établissait des rapprochements. Mais le cercle dont il était le centre peu à peu s’élargit autour de lui, et cette auréole qu’il avait, s’écartant de sa figure, s’étala plus au loin, pour illuminer d'autres rêves).

Emma rêve de Paris, de la vie des duchesses (Paris, plus vague que l’Océan, miroitait donc aux yeux d’Emma dans une atmosphère vermeille. La vie nombreuse qui s’agitait en ce tumulte y était cependant divisée par parties, classée en tableaux distinct)s.

(Il y avait là des robes à queue, de grands mystères, des angoisses dissimulées sous des sourires. Venait ensuite la société des duchesses ; on y était pâle ; on se levait à quatre heures ; les femmes, pauvres anges ! portaient du point d’Angleterre au bas de leur jupon, et les hommes, capacités méconnues sous des dehors futiles, crevaient leurs chevaux par partie de plaisir, allaient passer à Bade la saison d’été, et vers la quarantaine enfin, épousaient des héritières).

Elle s’imagine la dame noble et tache de correspondre (стараетсясоответствовать) à ce statut, donc, elle embauche (нанимает) une fille et enla faisant sa femme de chambre (Pour remplacer Nastasie, Emma prit à son service une jeune fille de quatorze ans, orpheline et de physionomie douce. Elle lui interdit les bonnets de coton, lui apprit qu’il fallait vous parler à la troisième personne, apporter un verre d’eau dans une assiette, frapper aux portes avant d’entrer, et à repasser, à empeser, à l’habiller, voulut en faire sa femme de chambre..)De plus, elle appèle le garçon de la poste “groom”. Dans sa conscience, le groom s'associe avec la vie des nobles qui voyagent aux carosses (накаретах). (Le garçon de la poste, qui, chaque matin, venait panser la jument traversait le corridor avec ses gros sabots ; sa blouse avait des trous, ses pieds étaient nus dans des chaussons. C’était là le groom en culotte courte dont il fallait se contenter !)

Selon le texte nous voyons que Emma a l’imagination fertile (богатоевоображение), elle est dans les nuages (онавитаетвоблаках). S’étant trouvéau couvent (вмонастыре), elle lisait les romans d’amour et c’est pourquoi maintenant elle habite dans le monde plein d’illusions, d’espoirs des sentiments romantiques. La réalité la chagrine. (разочаровываетее): (Plus les choses, d’ailleurs, étaient voisines, plus sa pensée s’en détournait. Tout ce qui l’entourait immédiatement, campagne ennuyeuse, petits bourgeois imbéciles, médiocrité de l’existence, lui semblait une exception dans le monde, un hasard particulier où elle se trouvait prise, tandis qu’au delà s’étendait à perte de vue l’immense pays des félicités et des passions).

Elle pense que la vie provinciale ennuyeuse n’est pas pour elle. M-me Bovary essaie de diversifier sa vie. Jn peut dire q’elle se distingue par sa créativité (изобретательность): (Elle le charmait par quantité de délicatesses : c’était tantôt une manière nouvelle de façonner pour les bougies des bobèches de papier, un volant qu’elle changeait à sa robe, ou le nom extraordinaire d’un mets bien simple, et que la bonne avait manqué, mais que Charles, jusqu’au bout, avalait avec plaisir), (Quand ils avaient, le dimanche, quelque voisin à dîner, elle trouvait moyen d’offrir un plat coquet, s’entendait à poser sur des feuilles de vigne les pyramides de reines-claudes, servait renversés les pots de confitures dans une assiette, et même elle parlait d’acheter des rince- bouche pour le dessert), cela montre encore qu’elle est une bonneménagère.

Dans ce fragment l’auteur l’oppose à Сharles qui n’aspire(нестремится)à rien et ne s’interesse à rien.

(La conversation de Charles était plate comme un trottoir de rue, et les idées de tout le monde y défilaient dans leur costume ordinaire, sans exciter d’émotion, de rire ou de rêverie. Il ne savait ni nager, ni faire des armes, ni tirer le pistolet, il n’enseignait rien, celui-là, ne savait rien, ne souhaitait rien).

Emma comprend bientôt qu’elle ne l’aime pas, elle le croit mediocre et ennuyeux. Elle reve d’autre mari (Tous, en effet, ne ressemblaient pas à celui-là. Il aurait pu être beau, spirituel, distingué, attirant, tels qu’ils étaient sans doute, ceux qu’avaient épousés ses anciennes camarades du couvent). Charle l’irrite (раздражаетее). (Elle se sentait, d’ailleurs, plus irritée de lui. Il prenait, avec l’âge, des allures épaisses ; il coupait, au dessert, le bouchon des bouteilles vides ; il sepassait, après manger, la langue sur les dents ; il faisait, en avalant sa soupe, un gloussement à chaque gorgée, et, comme il commençait d’engraisser, ses yeux, déjà petits, semblaient remontés vers les tempes par la bouffissure de ses pommettes.)

Dans ce passageil n’y a pas de narrateur. C’est un des traits stilystiques inhérentes a Flobert. Ainsi l’auteur donne la possibilité au lecteur d’apprécier objectivementles personnages et le roman, c’est à dire il ne nous impose pas son opinion (ненавязывает).L’auteur utilise des procédés stylistiques comme la presentation, la description détaillé des décors. Tout cela cree une narration obgective.(Au lit, le matin, et côte à côte sur l’oreiller, il regardait la lumière du soleil passer parmi le duvet de ses joues blondes, que couvraient à demi les pattes escalopées de son bonnet. Vus de si près, ses yeux lui paraissaient agrandis, surtout quand elle ouvrait plusieurs fois de suite ses paupières en s’éveillant ; noirs à l’ombre et bleu foncé au grand jour, ils avaient comme des couches de couleurs successives, et qui plus épaisses dans le fond, allaient en s’éclaircissant vers la surface de F émail) (Emma, quelquefois, lui rentrait dans son gilet la bordure rouge de ses tricots, rajustait sa cravate, ou jetait à l'écart les gants déteints qu’il se disposait à passer)Outre cela l’auteur introduit (вводит) le discours indirect libre d’Emma.(Elles allaient donc maintenant se suivre ainsi à la file, toujours pareilles, innombrables, et n'apportant rien ! Les autres existences, si plates qu’elles fussent, avaient du moins la chance d'un événement. Une aventure amenait parfois des péripéties à l’infini, et le décor changeait.) Сela donne l'impression que nous pouvons lire ses pensées.

Donc, dans ce texte Emma aspire (стемится) à quelque chose d'inhabituel, mais chaque fois elle est confronté (снова) à la deception(разочарованием), liée à la réalité ennuyeuse.

“La carte postale” (A. Maurois)

Аndré Maurois est un grand écrivain français du 20ème siècle. Il a écrit beaucoup d'oeuvres littéraires, pour le principal (восновном) des nouvellesqui ont eu du succès et lui ont apporté la célébrité.

Une de sesnouvelles est “La carte postale”, dans laquelleon parle de l’histoire de Natalie. Cette histoire est consacrée à un des souvenirs vifs de son enfance.

Les actions de ce récit se passent à Moscou. Les parents de Natalie se sont divorcé et elle vit avec sa mère et son beau-père avec qui ellea de belles relations.Mais tout change quand Natalie rencontre avec le père.Toutes les surprises préparées de son père échouent. A la fin de la soir le père lui donneune cartepostalequi n’est pas très belle.Cependant en eprouvant la pitié envers le père, le beau-père la trompe, en disant que la cartepostale est magnifique. Depuis ce temps elle déteste son beau-père.

Dans cette nouvelle le narrateur est Natalie. Malgré son âge c’est une petite fille très intelligente. Elle comprend bien que son père a fait des efforts immences pour organizer cette soirée et pour la mettre en joie (порадовать) («Il avait acheté des jouets neufs, commandé un merveilleux déjeuner et préparé pour la nuit tombante un petit feu d’artifice dans le jardin »).Mais selon de sa nature, il est « un homme d’une maladresse infinie », « Toutcequ’ilavaitorganisé avectantd’amour échoua »). La politesse et la modestie sont propre à Natalie, malgré tous les échecs de son père, elle ne lui dit rien et essaye de ne pas lui montrer son mauvais humeur. Elleaime vraiment son père. Ce fait est prouvé par une proposition suivante(«Je savais que mon père m’aimait, qu’il avait fait de son mieux et qu’il n’avait pas réussi. Je le plaignais et, en même temps, j’avais un peu honte de lui. Je voulais lui cacher ces idées, j’essayais de sourire et je pleurais»). Elle éprouve de la pitié envers son père.

Comme plusieurs enfants, Natalie sent bien l’insincérité (неискренность) et l’hypocrisie (лицемерие) dans les mots et dans le comportement des gens («C’est la plus belle carte que j’ai jamais vue; il faudra la garder avec soin.J’avais sept ans, mais je savais qu’il mentait, qu’il jugeait comme maman cette carte affreuse»). Son beau-père essaye d’être bon pour Natalie mais il ne prendpas en consideration (неучел) que son mensonge au bien (ложь во благо) peut détruire (разрушить) ses relations avec sa belle-fille (« Je déchirai la carte et c’est depuis ce jour que j’ai détesté mon beau-père»).

Dans ce texte il n'y a pas beaucoupdeprocédés stylistiques. I y a quelques épithètes pour l’atmosphère pendant la soirée (« l’odeur triste, flammes terrifiantes, la catre affreuse »). Outre cela nous pouvons trouver quelquesphrases ironiques (« Mon Dieu! dit-elle.Ce pauvre Pierre n’a pas changé… Quelle pièce pour le musée des Horreurs! Heinrich, qui me regardait, se pencha vers elle, le visage fâché:—Allons, dit-ilà voix basse, allons… Pas devant cette petite »). L'auteur les utilise pour montrer les relations entre les personnages, en particulier, les relations de la mère au père de Natalie et les relations entre la mère et le beau-père.

Donc, l’idée principale de ce texte c’est ce qu’il est très important d’être sincère avec les gens, surtout avec les enfants, car ce sont les enfants qui sentent bien l’insincérité.

Terre des hommes 

Terre des hommes est un ouvrage (un roman) d’Antoine de Saint-Exupéry. Ce recueil de textes autobiographiques et de réflexions sur la condition humaine (человеческоесостояние) a reçu la même année le grand prix du roman de l'Académie française.

L’extrait analysé est tiré du dernier chapitre de cet ouvrage qui s’appelle « Les hommes » dans lequelle il n’y a pas des actions, de l’histoire mais il y a seulemet des réflections du narrateur. L’auteurcréeundialogue (здесьприводимпримерыкогдаонзадаетвопросы, апотомнанихотвечает, ихмноговтексте) avecdeslecteurs. En réflechissant il touche les thèmes suivants: la vérité, l’amitié, les relations entre des hommes. Un des traits spécifique d’Antoine de Saint-Exupéry est l’utilisation du pronoms personnel «nous» pour se rapprocher des lécteurs (сблизиться) (тут приводим все nous, что есть в отрывке, я не знаю, где он закончиться).

Le narrateurcommence ce passagepar les mots suivants: « Liés à nos frères par un but commun et qui se situe en dehors de nous, alors seulement nous respirons ». Pour Antoine de Saint-Exupéry l’amitié est la vraie valeur. Il croit que être amis signifie sentir l’unité: «Il n’est de camarades que s’ils s’unissent dans la même cordée, vers le même sommet en quoi ils se retrouvent». En donnant l’aphorisme («l’expérience nous montre qu’aimer ce n’est point nous regarder l’un l’autre mais regarder ensemble dans la même direction»), le héros principal veut dire que les buts communs réunissent les gens. Cependant le narrateur marque que la guerre ne doit pas être un but commun : «Dans un monde devenu désert, nous avions soif de retrouver des camarades : le goût du pain rompu entre camarades nous a fait accepter les valeurs de guerre. Mais nous n’avons pas besoin de la guerre pour trouver la chaleur des épaules voisines dans une course vers le même but. La guerre nous trompe. La haine n’ajoute rien à l’exaltation de la course».La division des personnes, les guerres sont des facteur distructifs ( «la guerre d’aujourd’hui détruit ce qu’elle prétend favoriser »,«une guerre n’est plus qu’une chirurgie sanglante»).

L’autre sujet de cette extrait est les relations entre des gens. Selon les réflexions du narrateur tous les gens sont différents etsi l’autre homme n’est pas comme toi cela ne signifie pas qu’il est mauvais: «Si vous voulez convaincre de l’horreur de la guerre celui qui ne refuse pas la guerre, ne le traitez point de barbare»c’est pourquoi l’auteur nous donne les instructions : «cherchez à le comprendre avant de le juger ».Antoine de Saint-Exupérycroit que la dispute est inutile, en effet («Alors que l’homme, partout, autour de nous, expose les mêmes besoins»;«Nous nous divisons sur des méthodes que sont les fruits de nos raisonnements, non sur les buts : ils sont les mêmes».

Quant àla vérité, il essaye d’expliquer aux lecteurs à l’aide des exemles qu’est-ce que c’est la vérité. Chaque personne a sa vérité («Pour comprendre l’homme et ses besoins, pour le connaître dans ce qu’il a d’essentiel, il ne faut pas opposer l’une à l’autre l’évidence de vos vérités. Oui, vous avez raison. Vous avez tous raison. La logique démontre tout. Il a raison celui-là même qui rejette les malheurs du monde sur les bossus »). Ainsi Exupéry donne un exemple où il se souvient de son meilleur ami Mermoz. Il parle d'un exploit ( подвиг) de cet homme : “quand il plongeait vers le versant chilien des Andes, avec sa victoire dans le cœur, qu’il se trompait, qu’une lettre de marchand, peut-être, ne valait pas le risque de sa vie, Mermoz eût ri de vousLa vérité, c’est l’homme qui naissait en lui quand il passait les Andes.» L’auteur est fier de son ami et dit que pour Mermoz : «La vérité, c’est l’homme qui naissait en lui quand il passait les Andes.»

Puis pour illustrer son réflections, l’auteur raconte l’histoire d’un officier noble qui remercie des parlementaires de leur aide pendant la bataille et il leur rend les cartouches (потроны) dont on usera contre lui. Pour cette homme “La vérité, c’est ce qui fait de lui un homme”. Oute cela «La vérité, c’est le langage qui dégage l’universel». Donc la vériténe se démontre pas (доказываться), elle s'affirme, elle donne les gens l'impression d'échanger quelque chose de supérieur à eux-mêmes.

(Le principal et le générale pour les héros d’Exupéry est la liberté: «Nous voulons être délivrés. Celui qui donne un coup de pioche veut connaître un sens à son coup de pioche. Etlecoupdepiochedubagnard, quihumilie…»)

Ainsi dans cet extrait Antoine de Saint-Exupéry se réflechit avec les lecteurs sur de la vérité, l’amitié, les relations entre des hommes et explique sa position à propre ces problèmes.

M. Aymé - Le chien

Cette histoire est tiré de l’oeuvre de M. Aymé «Les contes du chat perché».

« Les contes du chat perché » regroupe dix sept contes .

Les personnages récurrents (постоянные) sont deux petites filles Delphine et Marinette qui vivent avec leurs parents dans une ferme.

Autour de ces deux enfants gravite (вращается) un univers des animaux, tous doués de parole (всенагражденысловом) et de conscience (сознанием).

Les deux filles font quelques bêtises mais prennent souvent la défense des animaux contre les parents plus brutaux.

En retours les animaux les aident à démêler les vilaines affaires (разобратьсявнеприятныхделах) dans lesquelles elles se retrouvent quelques fois.

L’extrait analysé est tiré du conte qui s’appele «le chien».

Dans ce conte, ON PARLE DE CE QUE LE CHIEN AIDE SON MAITRE. IL PREND SON MAL ET DEVIENT AVEUGLE A SA PLACE. Le maître l’abandonne et Delphine et Marinette lui prennent chez elles.

Abandonné par son maître, le chien quand même(всеравно) s'inquiète de lui (Mon maître doit déjà se trouver bien puni à l’heure qu’il est. Maintenant qu’il n’est plus aveugle et qu’il lui faut travailler pour gagner sa vie, je suis sûr qu’il regrette les beaux jours où il n’avait rien à faire que de se laisser guider par les chemins et d’attendre son pain et la charité des passants. Je vous avouerai même que je suis bien inquiet sur son sort, car je ne crois pas qu’il y ait au monde un homme plus paresseux.) Le chien exerce une influence positive sur tous les membres de la famille, surtout sur le chat qui commence à se soucier du chien, veut l’aider, devient plus amical (Il avait tant d’amitié pour lui qu’il aurait voulu pouvoir ronronner entre ses pattes du matin au soir. Pendant que Delphine et Marinette étaient à l’école, ils ne se quittaient presque pas. Les jours de pluie, ils passaient leur temps dans la niche du chien, à bavarder ou à dormir l’un contre l’autre.) et un jour ilprend le mal de chien. Il souffre de cela maiscependant il est heureux qu’il aide son ami. Mais bientôt le chat commence à ressentir certains désagréments et par hasard ayant attrapé une souris et ayant menaçé de la manger il la donne sa maladie. Il est tres reconnaissant à une souris et commence à être ami avec elle. Donc, quelque chose absurde se passe: le chien est l’ami du chat et le chat est l’ami de la souris. Mais un jour l’ancien maître du chien apparaît et reprend son mal, le chien a pitié de lui à nouveau et court à l’aveugle. Dans ces actions du chien, on voit la fidélité, la charité envers le maître. Le chien croit qu'il est plus important et plus utile pour cet homme que pour les filles.

L’auteur montre le chien comme un animal fidèle, capable d’un sens du dévouement sans borne. Il accepte de servir à nouveau son maitre malgré les mauvais traitements et l’ingratitude qu’il a subi de lui. Maître a montré son égoïsme, son manque d’amour, son manque de charité en abandonnant son chien devenu aveugle pour soulager ses maux.

Le chien, à cause de sa bonté, a gagné la confiance et le respect de la famille. Les parents lui confient leurs filles, le chat a peur de le décevoir (разочаровать) et de perdre leur amitié. (Mais ce qui le peinait surtout, c’était de penser que le chien ne l’aimait plus et qu’il le tenait pour un mauvais chat; Il passa une très mauvaise nuit et ne put fermer l’œil;). Il s’est beaucoup changé, à l’exemple du chien, il est devenu bon. (Le chat était tout tremblant dans son poil de l’entendre parler ainsi. Il n’aurait jamais pensé qu’on pût avoir tant de plaisir à être bon.)

Dans l’extrait analysé, l’auteur montre que le chien reste fidèle et bon meme après la trahison de son maître. Donc ici l’auteur s’oppose les gens aux animaux et très souvent les animaux sont mieux que les gens. Dans ce conte on voit les hauts sentiments (fidelité, amitié et charité), qui sont inhérents (присущи) plus souvent des animaux.

L'auteur révèle sur des images des animaux les traits qui doivent être inhérente aux personnes.

Tout conte est l'appel à l'amitié, la bonté et la miséricorde.

La Peste

Albert Camus est un écrivain, philosophe, romancier, dramaturge, journaliste, essayiste et nouvelliste français du xxe siècle. Il est un des représentants d’existentialisme. Celui est un courant philosophique et littéraire selon lequel l'existence de l'homme précède son essence, lui laissant la liberté et la responsabilité de ses choix. Parmis ses oeuvres prencipals sont L'Étranger, La Peste.

L’extrait analysé est tiré du roman La peste ecrit par Albert Comus.Ce roman raconte la vie des habitants de la ville Oran pendant la peste sous une forme de chronique. La peste est à la fois symbole mystique et représentation intemporelle du nazisme, de l’occupation allemande. Le narrateur de ce roman est docteur qui s’appelle Rio.

Dans l'extrait analysé le narrateur décrit un modèle de comportement humain dans des conditions inhabituelles, (en danger de mort), les actions de l’administrationpendant la peste. La ville est fermée. Il n’y a plus aucun moyen de communication avec les gens qui se trouvent en déhors de la ville à part le télégramme.Les hommes vivent dans la séparation avec leurs proches. L'administration prend une série de mesures pour la sécurité («Tout d’abord, le préfet prit des mesures concernant la circulation des véhicules et le ravitaillement. Le ravitaillement fut limité et l’essence rationnée. On prescrivit même des économies d’électricité. Seuls, les produits indispensables parvinrent par la route et par l’air, à Oran»; « D’une part, en effet, la ville n’était plus reliée au reste du pays par les moyens de communication habituels, et, d’autre part, un nouvel arrêté interdit l’échange de toute correspondance, pour éviter que les lettres pussent devenir les véhicules de l’infection»; «Les communications téléphoniques interurbaines, autorisées au début, provoquèrent de tels encombrements aux cabines publiques et sur les lignes, qu’elles furent totalement suspendues pendant quelques jours, puis sévèrement limitées à ce qu’on appelait les cas urgents, comme la mort, la naissance et le mariage »). D’abord ils ne comprennent pas à quel point la situation est dangereuse et certains veulent que leurs proches puissent revenir mais puis la plupart préfère ne pas mettre en danger la vie de leurs proches à l’exception de M et Mme Castel («Mais cette séparation brutale et prolongée les avait mis à même de s’assurer qu’ils ne pouvaient vivre éloignés l’un de l’autre, et qu’auprès de cette vérité soudain mise au jour, la peste était peu de chose »). Leur mode de vie habituel change:moins de magasins ouverts,un seul film au cinéma,beaucoup d’ivrognes(пьяниц).Il n’y a plus aucun véhicule(транспортноесредство) à Oran(“Oran donnait alors, vers trois heures de l’après-midi par exemple, et sous un beau ciel, l’impression trompeuse d’une cité en fête dont on eût arrêté la circulation et fermé les magasins pour permettre le déroulement d’une manifestation publique, et dont les habitants eussent envahi les rues pour participer aux réjouissances”). Ils comencentà réfléchir au sujet de leurs relations avec leurs bien-aimé (« Ils déploraient alors l’ignorance où ils étaient de son emploi du temps ; ils s’accusaient de la légèreté avec laquelle ils avaient négligé de s’en informer et feint de croire que, pour un être qui aime, l’emploi du temps de l’aimé n’est pas la source de toutes les joies. Il leur était facile, à partir de ce moment, de remonter dans leur amour et d’en examiner les imperfections»).

Un des traits de l’existentialisme est ce que l'homme se sent seul, d'autres gens sont étrangers pour lui, ils ne le comprennent pas, il ne attend pas de leur aide («Dans ces extrémités de la solitude, enfin, personne ne pouvait espérer l’aide du voisin et chacun restait seul avec sa préoccupation»).

Oran est occupée par la peste, comme une grande partie de la France occupée par les nazis pendant la guerre. Maintenatses habitants sont prisonniers de leur propre ville(4.Ainsi, la première chose que la peste apporta à nos concitoyens fut l’exil) et ne vivent qu’au présent, il est inutile de penser à l'avenir et ils ne peuvent pas remonter le temps (вернутьвремя)(13. Ainsi, chacun dut accepter de vivre au jour le jour, et seul en face du ciel. 5.Nous savions alors que notre séparation était destinée à durer et que nous devions essayer de nous arranger avec le temps. Dès lors, nous réintégrions en somme notre condition de prisonniers, nous étions réduits à notre passé, et si même quelques-uns d’entre nous avaient la tentation de vivre dans l’avenir, ils y renonçaient rapidement, autant du moins qu’il leur était possible, en éprouvant les blessures que finalement l’imagination inflige à ceux qui lui font confiance). Ils cessent même de supposer une date de la fin de leur emprisonnement. Ils perdent toute joie de vivre. L’imagination et les souvenirs deviennent le plus cher. Ils perdent l’espoire et commence à exprimerses sentimentsdans des conversationsbanalles (12« Vais bien. Pense à toi. Tendresse»).

Le styl de ce roman est différent des autres romans. Ce roman n’est pas émotionnelle, sec, il y a peu de procédés stylistiques. En décrivant l’atmosphère de la ville fermée Albert Camus utilise les mots assez sévères et dramatiques (6.la souffrance profonde de tous les prisonniers, 7.le goût du regret/ 8.vivre derrière des barreaux. 10. long temps d’exil 11.Cette séparation brutale, sans bavures, sans avenir prévisible).Il n’y a pas de couleur, de rien pour attirer l’attention du lecteur. Pour montrer le danger de la situation l’auteur utilise la description exacte et objective. Il n’y a pas de lexique estimée (оценочнаялексика). On peut dire qu’il constate les faits.

Ainsi on peut dire que dans cet extrait nous voyons la vie des gens dans la vill fermée et captivée (захвачен) par la peste. Devant la peste tous les gens sont égaux ils ne peuvent pas voir leur proches, ils sont isolés et nous voyons un modèle de comportement des gens dans la situation dangereuse.

Manon

Marcel Pagnol, l’auteur du livre dont l’extrait à analyser a été tiré, est un écrivain du XXème siècle qui a eu du succès avec sa trilogie consistant de trois oeuvres -“Marius”, “Fanny” et “César” - dont le sujet principal est plutôt la ville de Marseille, idéalisée comme un port exotique. C’est donc l’exotisme provençal qui a contribué (способствовать) à la réussite de ses pièces. Pagnol a écrit la plupart de ses pièces de théâtre comme des scénarios de films y compris l’un de ses films les plus connus, “Manon des Sources” d’où il a tiré deux romans, “Jean de Florette” et “Manon des Sources”. Avec cette œuvre il a réussi de montrer sous leur plus belle lumière les paysages de Provence et surtout de faire entendre l’accent méridional (южный).

Manon, la fille de Jean Florette, devient bergère après la mort de son père et vie avec sa mère et sa vieille bonne dans des collines, à l’exil des villageois. L’extrait à analyser nous parle de la vie de Manon dans la nature et dans cet extrait on présente l’arrivée de Manon en Aubagne.

Manon, fille vivant en harmonie avec la nature, est assez bonne, naïve et inexpérimenté.

Au debut du passage l’auteur décrit son apparence: «Manon venait d’avoir + описание ее волос, глаз итд».

L’auteur souligne que Manon «est plus grande que son âge», cela veut dire que cette pauvre fille est assez sage et intelligente, peut-être elle comprend la vie de telle façon que les gens de son âge ne peuvent pas. Manon souffre beaucoup sans son père, il lui manque, elle est sentimentale et se souvient souvent de son père: «Manon aimait cet arbre + вся цитата с воспоминаниями об отце».

Manon vit avec sa mère et sa bonne en pauvreté, elle «passait des heures sur la dalle de roche» et surveillait ses chèvres. Mais quand-même, malgré que Manon n’aie pas d’argent pour s’instruire (pour Faire des études), elle cherche à lire des livres, des journaux etc: «цитата Robinson Crusoe и до конца.»

Cela nous prouve que Manon est une fille qui tâche de se developper, d’apprendre à qch de nouveau malgré son status financière.

Mais parfois, pour gagner la vie Manon quitte son ambiance naturelle et va en ville pour acheter des herbes etc… (цитата «la ville pour elle…»)

C’est-à-dire dans cet extrait l’auteur montre deux mondes — d’un côté, la nature, et de l’autre côté, la ville. La nature, les collines, les forêts, c’est l’ambiance habituel pour Manon, elle veut même se marier à un homme riche mais propriétaire forestier et vivre avec lui dans une forêt (можно цитату).

En ce que concerne la ville, ce monde la choque, ou plutôt l’oppresse, elle a peur: «опсание города > des l’entrée d’Aubagne и до конца». Сравн. город с муравейником.

Идея: La collision de deux mondes: le monde naturel et le monde urbain. Первое впечатление (impression) о городе, она не может привыкнуть к нему, боится и стремится убежать из этого мира, который ей не понятен

Манон (alternate)

Marcel Pagnol, l’auteur du livre dont l’extrait à analyser a été tiré, est un écrivain du XXème siècle qui a eu du succès avec sa trilogie consistant de trois oeuvres -“Marius”, “Fanny” et “César” - dont le sujet principal est plutôt la ville de Marseille, idéalisée comme un port exotique. C’est donc l’exotisme provençal qui a contribué (способствовать) à la réussite de ses pièces. Pagnol a écrit la plupart de ses pièces de théâtre comme des scénarios de films y compis l’un de ses films les plus connus, “Manon des Sources” d’où il a tiré deux romans, “Jean de Florette” et “Manon des Sources”. Avec cette œuvre il a réussi de montrer sous leur plus belle lumière les paysages de Provence et surtout de faire entendre l’accent méridional (южный).

Manon, la fille de Jean de Florette, bergère (пастух) depuis l’échec (неудачи) et la mort de son père, vit dans les collines (холмы) à l’éxil (визгнании)des villageois. L'extrait à analyser nous présente la scène où elle apprend que non seulement Ugolin et le Papet savait qu'il y avait une source mais aussi tous les autres villageois.

Manon, fille vivant en harmonie avec la nature, assez naïve et inexpérimentée (неопытный), croit que "c’était les forces aveugles de la nature, ou la cruauté du Destin qu'il<son père> s'était si longuement battu". C'est pourquoi, ayant appris la vérité sur l'échec (неудачи) de son père, d’abord elle ne peut même pas éntièrement comprendre ce que c’est la verité (“Manon écoutait, glacée, ces paroles que son esprit enregistrait, mais qui ne touchaient pas encore son cœur, et elle doutait de leur sens : mais déjà des frissons couraient dans son dos, et elle respirait plus vite”) et, ayant tout entendu elle se sent stupéfaite(“Manon, glacée d'horreur, regardait quatre tranches de saucisson, rouge et blanc sur un lambeau de papier jaune, et cette bouteille oblique, appuyée contre une pierre. Deux coups de fusil l'éveillèrent. Elle partit au hasard sous les pinèdes”). Pour le montrer ses sentiments dans le deux cas l'auteur utilise la comparaison "glacée".

Elle ressent une douleur (чувствоватьболь) (“Lentement, la douleur prenait des forces, et serrait sa poitrine”), elle se souvient de son père qu’elle aimait et qui a énormement souffert(“Elle revoyait les jours heureux de leur misère, la mèche noire sur le front pâle, les beaux yeux qui riaient toujours, les grandes mains, les joues piquantes…”, “Ce n'était plus un héros vaincu, mais la pitoyable victime d'une monstrueuse farce, un infirme qui avait usé ses forces pour l'amusement de tout un village…”, “Ainsi, la longue peine de son père, ses efforts héroïques de trois années, devenaient presque ridicules…”); elle éprouve une déception énorme (разочарование) ("…la ruse et l'hypocrisie de paysans stupides, soutenus par le silence d'une coalition de misérables, dont l'âme était aussi crasseuse que les pieds. "). Elle ne se rend même pas compte (понимать) que ces gens ne sont pas diabolique, ils ont eu leurs raison pour ne pas dire la vérité – pour eux c’est le choix entre le bossu et leurs famille à eux (“Tu sais que je suis brave et honnête, mais le courage, j'en ai pas de reste. Et puis, il faut te dire qu'il y a cinq ans j'avais emprunté deux cents francs au Papet. Quand mes petites ont eu la rougeole… Je les lui rendais dix francs par dix francs. Et quand je ne pouvais pas, il me disait : " Ne te fais pas de mauvais sang, tu me les rendras quand tu pourras. " Alors, tu comprends bien que j'allais pas me mettre en travers des affaires des Soubeyran, pour une histoire que je n'étais pas bien sûr, et qui ne me regardait pas”, “Moi, c'est à cause d'Amélie. Un jour, j'ai vu le bossu de loin, qui cherchait l'eau avec la baguette… Ça m'a tracassé toute la nuit, que cet homme soit obligé de marcher à pieds nus, avec sa jarre sur la bosse, et qu'il avait sous les pieds la plus belle source du pays… Alors, le matin, j'ai dit à Amélie : " Nous sommes tous des criminels, et ça ne peut plus durer comme ça. Moi je vais lui dire.” <…>Enfin, je lui promets de rien dire. Elle me fait : " Promettre, ce n'est pas suffisant. Jure sur ton établi. " Moi, de jurer, ça ne me gêne guère : ces choses-là, je n'y crois pas; j'allonge ma main au-dessus de l'établi, et je jure. Alors, elle me fait un œil glacial, et elle me dit : " Regarde un peu sur quoi tu as juré ! " Elle soulève mon équerre plate, et elle me fait voir une photographie, qu'elle avait glissée dessous : c'était ma fille, en première communiante, avec son livre de messe à la main !”) et, en plus, un d’eux a tout de même essayé de trouver un moyen d’aider cet homme (“Du coup, je n'ai rien pu dire, mais ça me tracassait quand même –Конеццитаты- Comme ça je n'avais pas parlé, et si le pauvre homme avait eu l'idée de viser avec les flèches, il aurait creusé au bon endroit, et en quatre coups de pioche, l'eau lui aurait sauté à la figure !”) et éprouvant toujours des remords (угрызениесовести), il tâche de ne plus faire mal à cette pauvre fille (“« Moi, les pièges des autres, je n'y touche jamais. Pour moi les pièges, c'est sacré. Surtout ceux-là. » <…> – Parce que c'est ceux de la fille du bossu… <…> « Elle n'a plus que ça pour vivre : ça serait criminel de lui prendre ses pièges, après ce que nous lui avons fait…”). Ensuite, cette douleur se transforme en rage (ярость): pour montrer la colère et le désespoire (отчаяние) qui l'envahissent (заполняют) l'écrivain utilise des mots expressifs ("cette brute", “il avait eu l'audace de lui crier son amour”), des exclamation réthorique ("Non, il n'avait pas été vaincu !"), des comparaison (“l'âme était aussi crasseuse que les pieds”, “en criant comme une bête blesse”) et des métaphore ("ces insectes"). Elle se fâche surtout contre Ugolin parce qu'il a osé relever son amour envers elle tandis qu'il avait caché la vérité à son père et, donc, l'a péri (погубить) pour en tirer un profit (получитьприбыль).L’écrivain inclut beaucoup d’épithètes dans son discours interieure pour montrer à quelle point elle est blessée (“une monstrueuse farce, cette âme noire d'Ugolin, une rage sourde et profonde, son ignoble réussite”).

Ainsi elle est surpise par la fourberie (коварство) des villageois. Ce sont, donc, toutes ses émotions qui la poussent à fustiger carrément (излитьсвойгнев) et elle prend la décision de venger (мстить) la mort de son père.